CR Reconnaissance de la 1ère étape du Tour du Pays de Vaud 2011 à Mézières (7 août 2011)
Cette année la reconnaissance de l’étape du Tour du Pays de Vaud 2011 se fera à deux. A la base, il était prévu de courir, mais pas manque d’énergie, nous entâmerons ce périple en marchant. Et détronpez-vous, cela ne sera pas plus facile.
La température, une fois de plus, est idéale. Le ciel est voilé (il sera même franchement couvert par moment) et la température parfaite pour ce genre d’exercice. Pas de pluie sur l’entier du parcours, malgré quelques passages boueux, limite cross…
Comme l’année passée, l’herbe est haute et occasionera quelques démengeaisons intenses sur les tibias et les chevilles.
Le départ est toujours au même endroit.
Le premier kilomètre ne pose aucun problème car il est en descente.
Passage à proximité du terrain de foot du FC Jorat-Mézières.
Premier faux-plat montant du parcours.
La suite de la course se fera dans la forêt à droite.
Plus que quelques mètres et nous serons dans les bois.
Très légère côte, le pire est à venir.
Là, c’est déjà plus raide…
Il sera difficile de dépasser lors de cette montée.
Ca continue…
On approche du sommet.
Lors de cette reconnaissance, l’herbe était haute et plein d’orties.
Un cadre idyllique pour cette course. On approche également (déjà) du premier ravitaillement.
Nous croiserons deux équidés après la première montée en foret, mais passerons sans encombre.
Nous voyons déjà ce qui nous attend.
Ce talus est court, mais raide.
Le passage quelques dizaines de mètres plus en avant sera toujours délicat. On posera une branche sur les fils pour éviter de désagréables décharges. J’ai mis le bout de bois de côté pour 2012…
Nous longerons cette forêt.
Après la traversée d’un champ fortement endommagé par les taupes (bonjour les chevilles), nous rejoignons un petit chemin recouvert d’herbe.
Au bout de ce chemin et après une cinquantaine de mètres de goudron, nous traverserons la route des Cullayes, qui relie Les Cullayes (en amont) à Mézières (en aval).
Cette reconnaissante prend des airs bucoliques.
Après la route, on ammorce à nouveau le passage d’un pré avec de hautes herbes.
Un des endroits où je me suis trompé en 2010.
On va attaquer maintenant une des deux parties la plus «facile» de la course, la première descente.
On pouvait sentir les champignons et il y en avait énormément.
A droite est le bon chemin…
La fricassée de champignons Amanite tue-mouche est fortement déconseillées.
Cette reconnaissance a des allures de cross…
Cette fois il faudra prendre à gauche.
Encore une très belle descente.
Mais méfiance, cela fait deux fois que l’on descend…la montée est proche.
Nouveau changement de direction, toujours à gauche.
Deuxième montée, il n’en reste plus qu’une.
Le deuxième ravitaillement n’est plus très loin.
Après le deuxième ravitaillement on tourne à droite.
Place maintenant à la plus longue descente de la course.
La prudence est de mise, car le chemin est très caillouteux.
Il faudra trouver sa voie.
Cette descente est magnifique et permet de prendre de précieuses secondes.
Il faudra toutefois garder quelques forces pour la dernière montée.
On sort de la forêt.
Objectif: passer entres les arbres.
Ensuite tout de suite à droite.
Ce troncon le long de la lizières est interminable.
Fait étrange, même en marchant, je me chope un coup de mou avant le dernier tronçon le long de la forêt. Nous serons même attaqué par des taons assez voraces.
On peut voir ce qui reste à grimper.
Nous allons être attaqué ici par une dizaine de taons
C’est la montée de trop et elle fait mal aux jambes.
Nous ne sommes plus très loin de la délivrance.
Dernier virage…
…avant la fin de la course.
Le tour complet à une distance de 8,5 kilomètres environ.
Bonne course à toutes et à tous!
Normalement si le tracé est le même qu’en 2010, cela ressemblera au plan ci-dessus.
Max
PRESSE:
La Broye jeudi 4 août 2011